Hébreux ch 10 v 10 à 25 C’est en vertu de cette volonté que nous sommes sanctifiés, par l’offrande du corps de Jésus-Christ, une fois pour toute. Et tandis que tout sacrificateur fais chaque jour le service et offre souvent les mêmes sacrifices, qui ne peuvent jamais ôter les péchés, Lui, après avoir offert un seul sacrifice pour les péchés s’est assis pour toujours à la droite de Dieu; IL attend désormais que ses ennemis soient devenu son marchepied. Car, par une seule offrande, Il a amené à la perfection pour toujours ceux qui sont sanctifiés. C’est ce que le Saint-Esprit nous atteste aussi; car, après avoir dit: Voici l’alliance que je ferai avec eux, après ces jours là, dit le Seigneur: je mettrai mes lois dans leur cœur, et je les écrirai dans leur esprit, il ajoute: Et je ne me souviendrai plus de leurs péchés ni de leurs iniquités. Or, là où il y a pardon des péchés, il n’y a plus d’offrandes pour le péché. Ainsi donc, frères, nous avons, au moyen du sang de Jésus, une libre entrée dans le sanctuaire par la route nouvelle et vivant qu’il a inauguré pour nous au travers du voile, c’est à dire de sa chair, et nous avons un souverain sacrificateur établi sur la maison de Dieu; approchons-nous donc avec un cœur sincère, dans la plénitude de la foi, les cœurs purifiés d’une mauvaise conscience, et le corps lavé d’une eau pure. Retenons fermement la profession de notre espérance, car celui qui a fait la promesse est fidèle. Veillons les uns sur les autres, pour nous exciter à l’amour et aux bonnes œuvres. N’abandonnons pas notre assemblée, comme c’est la coutume de quelques uns; mais exhortons-nous réciproquement, et cela d’autant plus que vous voyez s’approcher le jour.
Il a plu à Dieu d’indiquer l’œuvre de Jésus et de déterminer la vie chrétienne, comme une route. Cette figure est idéale pour une bonne compréhension de la volonté de Dieu, pour nous mettre à l’abri des erreurs, et nous faire parvenir au but sain et sauf. Quand il est question de route, il y a toujours l’idée d’un départ et d’une arrivée. Et, c’est bien a cela que sert une route.
La figure employée ne peut évoquer autre chose, nous nous y engageons, ou nous ne nous y engageons pas sur la route, alors dans ce dernier cas la route est ignorée, et il n’y a pas d’arrivée. L’entrée sur la route ou le départ se fait par la foi au travers du sang de Jésus. En fait l’entrée c’est le sang de Jésus, ôtons le sang de Jésus et il n’y a plus de route, plus de départ et plus d’arrivée.
L’Ecriture déclare: Hébreux ch 9 v 22 Et presque tout, d’après la loi, est purifié avec du sang, et sans éffusion de sang il n’y a pas de pardon.
Hors du sang de Jésus, il n’y a pas de pardon, pas de réconciliation avec Dieu et pas de salut!
Et aucune religion ne peut remplacer cela.
Pour s’engager sur cette route, il n’est pas question d’une sélection, due aux caractères ou aux bonnes œuvres. Tout le monde peut se décider à l’emprunter, tous. Nous ne naîssons pas chrétien, nous le devenons. La base de départ ayant été solidement établi, il reste maintenant a s’engager sur la route. Une route se pratique toujours avec une progression vers l’arrivée, c’est son objet. Il ne s’agit pas de rester fixer à l’entrée, qui n’est pas la destination. Beaucoup de gens ayant eu connaissance de cette route ne parviendront pas au but pour la simple et bonne raison qu’ils ne se sont pas mis en marche.
Voilà pourquoi Jésus a dit: Matt ch 22 v 14 « Il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus »
Certains pourront dire, pour excuser leur manque d’engagement, que n’étant pas sur d’arriver à destination, mieux vaut ne pas s’engager. Voilà qui est avouer n’avoir rien compris de la Parole de Dieu, et faire passer le Seigneur pour menteur, plus grave encore, d’être susceptible de faillir à ses promesses de garder les siens. C’est très loin d’avoir la foi, et sans ce minimum, personne ne peut être agréable à Dieu et bénéficier de son secours. L’Ecriture précise bien que c’est l’homme Jésus qui a inauguré cette route et qu’Il est parvenu au but en tant qu’homme aussi faible dans la chair que peuvent l’être tous les hommes.
Ce n’est pas en tant que Dieu que Jésus s’est engagé, mais en tant qu’homme! Et Il a du faire confiance au Père céleste.
La route a été inaugurée ou empruntée pour une première fois:
AU TRAVERS DE SA CHAIR ET NON PAS AU TRAVERS DE SA DIVINITE.
Ce qui veut dire que si Jésus a pu, tous le pourront et d’autant plus qu’Il attend chacun au bout de la route en fonction de souverain sacrificateur.
Hébreux ch 5 v 1 à 10 En effet, tout souverain sacrificateur pris du milieu des hommes est établi pour les hommes dans le service de Dieu, afin de présenter des offrandes et des sacrifices pour les péchés. Il peut avoir la compréhension pour les ignorants et les égarés, puisque la faiblesse est aussi son partage. Et c’est à cause de de cette faiblesse qu’il doit offrir des sacrifices pour ses propres péchés, comme pour ceux du peuple. Nul ne s’attribue cette dignité, s’il n’est appelé de Dieu, comme le fut Aaron. Et Christ ne s’est pas non plus attribué la gloire de devenir souverain sacrificateur, mais il la tient de celui qui a dit: Tu es mon fils, Je t’ai engendré aujourd’hui! comme IL dit encore ailleurs: Tu es sacrificateur pour toujours, selon l’ordre de Melchisédech. C’est lui qui, dans les jours de sa chair, a présenté avec de grands cris et avec larmes des prières et des supplications à celui qui pouvait le sauver de la mort, et il a été exaucé a cause de sa piété. IL a appris, bien qu’il soit Fils, l’obéissance par les choses qu’il a souffertes; après avoir été élevé à la perfection, il est devenu pour tous ceux qui lui obéissent l’auteur d’un salut éternel, Dieu l’ayant l’ayant déclaré souverain sacrificateur selon l’ordre de Melchisédech.
Ainsi Jésus a été établi, par le Père, comme souverain sacrificateur au bout de la route pour appeler, conduire, aider, encourager, relever de ses chutes celui qui est engagé vers le but. Son sang plaide pour quiconque, s’est engagé avec ses faiblesses et Il donne la garantie de parvenir au but. C’est donc être de mauvaise foi, que de ne pas s’engager avec cette connaissance de l’aide du Seigneur. D’ailleurs il est précisé que les obstacles à l’engagement sur la route ne sont pas: » Les faiblesses, les chutes éventuelles, mais le manque de sincérité du cœur devant les promesses de Dieu; Le manque de foi ou de confiance à la Parole de Dieu, l’état de mauvaise conscience avec la Vérité divine. » Et puis tout cela crut, accepté, mis en pratique, il suffit de le maintenir fermement, et courageusement tout au long du voyage, en se disant bien que celui qui a fait la promesse de garder l’engagé est Fidèle.
Il n’y a qu’une seule catégorie de gens que Jésus ne pourra garder, il s’agit de celle qui se retire du chemin.
Hébreux ch10 v 36 à 39 Car vous avez besoin de persévérance, afin qu’après avoir accompli la volonté de Dieu, vous obteniez ce qui vous est promis. Encore un peu, un peu de temps: celui qui doit venir viendra, et il ne tardera pas. Et mon juste vivra par la foi; mais s’il se retire, mon âme ne prends pas plaisir en lui. Nous, nous ne sommes pas de ceux qui se retirent pour se perdre, mais de ceux qui ont la foi pour sauver leur âme.
Un si grand et si beau privilège, incite le cœur sincère à ne pas penser qu’a soi. La grâce de Dieu nous délivre de tout égoïsme et nous rapproche de nos compagnons de voyage. Aussi m’engager dans le chemin de la Vérité, voudra aussi dire aider les autres a êtres fidèles dans la même vérité. Le moyen de réaliser cela c’est d’être fidèle a l’enseignement Biblique, a la communion fraternelle et aux prières. Ceux qui abandonnent l’assemblée auront renoncé à l’amour de Dieu manifesté en Jésus.
Comments by Joseph Kouyoumdjian